La crise mondiale de ces dernières années a touché nombreux domaines. L’immobilier en a, à un certain temps, payé les frais. Afin de rebondir, les acteurs opérant dans ce secteur ont décidé d’attirer l’attention de ses clients en diminuant de plus en plus le taux d’intérêt admis pour un crédit immobilier. En Mai 2013, les spécialistes ont été ébahis de voir qu’il a atteint une valeur record de 2,97%.
Suite à ce fait, les nouveaux emprunteurs ont commencé à s’y intéresser. Et bien entendu, ceux qui ont effectué des prêts bien avant ce changement ont voulu creuser un peu plus profond afin de voir s’ils pourraient bénéficier de cet avantage nouvellement adopté. À cet effet, deux (02) possibilités s’offrent aux anciens emprunteurs. Soit il procède à une renégociation de son emprunt, ce qui est généralement, difficile mais faisable dans certains cas. Ou encore ils peuvent toujours avoir recours à d’autres banques et d’en bénéficier encore plus : le rachat de crédit.
La renégociation de son emprunt peut sous-entendre ou bien une diminution des charges mensuelles à payer ou encore celle de la durée totale de remboursement, c’est-à-dire accélérer les paiements afin de s’en défaire dans un délai plus court. D’après les experts en prêt bancaire, la potentialité d’obtenir cette faveur n’est possible que pour les gros clients de la banque qui leur apportera ultérieurement des bénéfices. En gros, il faut des arguments en béton, ce qui est rare, pour pouvoir spéculer de ses avantages. Encore, pour les cas positifs, les banques ne proposent que d’arrondir légèrement ce taux. Naturellement, puisque cette opération lui engendrera des pertes. Par conséquent, elle n’offrira cette faculté qu'aux clients à bon profil qui lui apporteront sous d’autres formes des bénéfices. Donc, à moins que ces derniers disposent des moyens nécessaires pour se procurer les services des experts, cette option est à exclure.
Pour les anciens emprunteurs, le rachat du crédit est la seconde alternative qui leur est ouverte. En effet, il s’agit d’un moyen à partir duquel ils font appel à une autre banque concurrente pour fournir un prêt afin de pouvoir payer dans les plus brefs délais le précédent. Pour celui-ci, il faut bien investiguer afin de déterminer si le nouveau occasionnera plus de bénéfices que de pertes. Effectivement, les gains sont tangibles dans le cas où, après avoir payé la dette antérieure ainsi que tous les frais afférents à la nouvelle, l’emprunteur dispose encore suffisamment de sommes pour améliorer davantage son bien (immobilier). Avant de conclure un contrat avec la nouvelle banque, il faut également s’assurer d’avoir des taux (quels qu’ils soient) largement inférieurs à ceux de l’ancienne. Certes, plusieurs avantages se présentent à l’emprunteur. Pourtant, comme on dit, toute chose a deux (02) revers. L’emprunteur, en guise de frais de dédommagement à l’ancienne banque, doit lui verser une indemnité de remboursement anticipé, équivaut à six (06) mois d’intérêt sur le capital qui reste. Ceci a été fixé par la Loi sur l’épargne et la sécurité financière du 25 Juin 1999. Suite aux nombreux évènements qui se sont produits, l’Etat s’est montré quand même indulgent envers certaines personnes pour qui ceci constitue une difficulté et a supprimé cette pénalité. Parmi celles-ci, il y a celles qui ont dû changer de localité dans l’exercice de ses activités professionnelles, celles qui ont vécu un décès soudain ou une cessation forcée de ses sources de revenus.
Dans les deux (02) cas, il faut toujours se renseigner auprès des spécialistes dans ce domaine afin de ne pas investir pour perdre. Mais le plus important est d’honorer les contrats faits en payant les mensualités régulièrement.
Suite à ce fait, les nouveaux emprunteurs ont commencé à s’y intéresser. Et bien entendu, ceux qui ont effectué des prêts bien avant ce changement ont voulu creuser un peu plus profond afin de voir s’ils pourraient bénéficier de cet avantage nouvellement adopté. À cet effet, deux (02) possibilités s’offrent aux anciens emprunteurs. Soit il procède à une renégociation de son emprunt, ce qui est généralement, difficile mais faisable dans certains cas. Ou encore ils peuvent toujours avoir recours à d’autres banques et d’en bénéficier encore plus : le rachat de crédit.
La renégociation de son emprunt peut sous-entendre ou bien une diminution des charges mensuelles à payer ou encore celle de la durée totale de remboursement, c’est-à-dire accélérer les paiements afin de s’en défaire dans un délai plus court. D’après les experts en prêt bancaire, la potentialité d’obtenir cette faveur n’est possible que pour les gros clients de la banque qui leur apportera ultérieurement des bénéfices. En gros, il faut des arguments en béton, ce qui est rare, pour pouvoir spéculer de ses avantages. Encore, pour les cas positifs, les banques ne proposent que d’arrondir légèrement ce taux. Naturellement, puisque cette opération lui engendrera des pertes. Par conséquent, elle n’offrira cette faculté qu'aux clients à bon profil qui lui apporteront sous d’autres formes des bénéfices. Donc, à moins que ces derniers disposent des moyens nécessaires pour se procurer les services des experts, cette option est à exclure.
Pour les anciens emprunteurs, le rachat du crédit est la seconde alternative qui leur est ouverte. En effet, il s’agit d’un moyen à partir duquel ils font appel à une autre banque concurrente pour fournir un prêt afin de pouvoir payer dans les plus brefs délais le précédent. Pour celui-ci, il faut bien investiguer afin de déterminer si le nouveau occasionnera plus de bénéfices que de pertes. Effectivement, les gains sont tangibles dans le cas où, après avoir payé la dette antérieure ainsi que tous les frais afférents à la nouvelle, l’emprunteur dispose encore suffisamment de sommes pour améliorer davantage son bien (immobilier). Avant de conclure un contrat avec la nouvelle banque, il faut également s’assurer d’avoir des taux (quels qu’ils soient) largement inférieurs à ceux de l’ancienne. Certes, plusieurs avantages se présentent à l’emprunteur. Pourtant, comme on dit, toute chose a deux (02) revers. L’emprunteur, en guise de frais de dédommagement à l’ancienne banque, doit lui verser une indemnité de remboursement anticipé, équivaut à six (06) mois d’intérêt sur le capital qui reste. Ceci a été fixé par la Loi sur l’épargne et la sécurité financière du 25 Juin 1999. Suite aux nombreux évènements qui se sont produits, l’Etat s’est montré quand même indulgent envers certaines personnes pour qui ceci constitue une difficulté et a supprimé cette pénalité. Parmi celles-ci, il y a celles qui ont dû changer de localité dans l’exercice de ses activités professionnelles, celles qui ont vécu un décès soudain ou une cessation forcée de ses sources de revenus.
Dans les deux (02) cas, il faut toujours se renseigner auprès des spécialistes dans ce domaine afin de ne pas investir pour perdre. Mais le plus important est d’honorer les contrats faits en payant les mensualités régulièrement.